Un article de Jay Griffiths, issu du site Contrepoints (2/01/2016)
« Et si la meilleure chose que nous puissions faire pour nos enfants était simplement de les laisser tranquilles ? Ou pourquoi les méthodes modernes d’éducation rendent nos enfants malheureux. »
Cet article est un témoignage riche et abondamment illustré de « l’accompagnement surveillé » des enfants, partout dans le monde. Il y est question de (sur)protection, de liberté, du rapport à la prise de risque, de l’accès aux espaces publics adaptés et… du rapport au temps.
« En 2011, l’UNICEF a demandé aux enfants ce dont ils avaient besoin pour être heureux, et les trois premières réponses sont : le temps, particulièrement avec leur famille, les amitiés et, ce qui est très révélateur, le dehors. Des études montrent que lorsque les enfants sont autorisés à jouer de manière non structurée dans la nature, leur sens de la liberté, d’indépendance et de force intérieure prospèrent, et les enfants en pleine nature sont non seulement moins stressés, mais aussi se remettent plus facilement d’événements stressants. »
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